dimanche 4 mars 2018

Maroc dimanche 4 mars 2018

Hier, malgré la pluie nous avons pu faire les vidanges et les pleins ce qui fait que nous sommes prêts plus tôt pour quitter Maria Alméria.

Je passe devant et nous serpentons sur les petites routes avant d’emprunter l’autoroute gratuite. En pleine montée, je règle le régulateur sur 100 km/h et me rends compte rapidement que Michel ne suit pas. Je réduit alors à 96 et l’attends, mais ne le vois pas venir. Finalement il reste loin dans notre rétroviseur. Alors que nous roulons assez calmement suivi de trois camions à la queue-leu-leu, Michel nous passe devant. En fait, il me l’expliquera plus tard, il a été pris par son élan en dépassant les trois camions et il n’y avait guère de place pour se remettre derrière nous. Qu’importe. Mais il reste devant et le scénario d’hier va se répéter. Alors que nous approchons du but, Tomtom nous invite à sortir de l’autoroute. Mais le Garmin de Michel ne semble pas l’entendre de cette oreille là. Je me colle à droite avec le clignotant et fais des appels de phares à Michel qui ne semble pas les voir puisqu’il continue sans sortir. A la sortie suivante, je répète le scénario, il voit les appels et à la dernière minute incurve sa trajectoire pour sortir. Nous le suivons. Tomtom s’y perd un peu puisque ce n’est  pas le trajet qu’il avait prévu, mais retombe sur ses pattes. Nous appelons finalement Michel qui semble hésitant dans les directions à prendre aux divers rond-points. Il nous confirme que son Garmin pédale encore dans la choucroute et qu’il nous envoie à la mer. Nous passons devant et après un instant arrivons à l’aire gratuite avec services de Moncofa.

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Nous mangeons un duo de seiche et de poulpe avec des pâtes (encore!) puis allons faire un tour à pieds sur la digue profitant enfin des rayons du soleil et dans ce qu’il faut appeler le centre-ville. Il s’agit de nombreux immeubles d’appartements presque tous abandonnés, beaucoup inachevés en seconde zone, tandis que sur le front de mer des petits appartements des années 30 se voient grignoter la digue par la mer et seront bientôt les pieds dans l’eau. Tout étant cependant très propre.

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