lundi 30 septembre 2019

Espagne 2019 lundi 30 septembre

Nous quittons Collobrières et choisissons de panacher le parcours, une partie par la route, jusqu'au repas de midi. Ensuite autoroute pour tester le véhicule que nous n'avons guère utilisé à ce jour et donc encore moins sur autoroute. Le parcours sur route se déroule bien, sans encombre et sans trop de circulation.

A midi, nous mangeons des Tielles avec une salade à l'huile d'argan, riz au lait maison en dessert.

Le temps d'un thé et d'un café et nous reprenons l'autoroute. Le véhicule répond bien. Le moteur est particulièrement puissant. Il restera à voir la consommation au prochain plein. Le régulateur de vitesse est particulièrement souple et tolérant. Il laisse une variante de l'ordre de 5 km/h mais essentiellement vers le bas, donc pas de risque de survitesse.

L'aire de Saint-Pierre-la-Mer nous est bien connue, nous nous y sommes rendus à diverses reprises. C'est une étape avant la péninsule ibérique. Il y a du monde, mais encore le choix dans les places. Il faut dire que la météo est particulièrement bonne avec, hier encore plus de 27°C à l'ombre.

Nous nous baladons un peu le long de la plage et profitons de 25°C en fin d'après-midi.






dimanche 29 septembre 2019

Espagne 2019 dimanche 29 septembre

Ce matin, c’est marché aux puces à la papeterie (quartier proche). Nous nous y rendons au grand plaisir des filles qui y trouvent divers jouets pour quelques pièces. Mais les parents aussi et pour les mêmes raisons.
De retour, nous prenons un peu d’avance et cherchons encore quelques caches sur le chemin du retour. Nous en trouvons certaines, mais pas toutes.
Après avoir mangé, nous laissons les filles jouer encoure quelques heures entr’elles ainsi qu’avec Noé qui est venu se joindre à elles. Les palabres reprennent pour les travaux, le projet s’affine. Il reste juste à le concrétiser…
Nous reprenons la route après seize heures contents que toute la famille se soit réunie à cette occasion dans une très bonne entente.
Direction Collobrières où, très malheureusement, nous ne pouvons pas déguster une glace aux marrons.

samedi 28 septembre 2019

Espagne 2019 samedi 28 septembre

Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Coline. Elle fête ses sept ans. Les parents de Matthieu arrivent courant d’après-midi, ainsi que (ex)Nounou et sa tribu. Les cousines sont contentes de se retrouver et jouent ensemble toute la journée. Durant le goûter, le gâteau d’anniversaire est découpé, vite avalé et les palabres se portent sur les projets de travaux envisagés à la maison et récemment modifiés par un architecte. Chacun y va de son avis, mais beaucoup d’idées sont retenues. Alex se met à l’ordinateur de Mat et dresse les premiers plans qui présentent quelques difficultés au sujet de l’escalier qu’il faut créer. Il restera à demander des devis et comparer les résultats aux finances disponibles.

vendredi 27 septembre 2019

Espagne 2019 vendredi 27 septembre

Aujourd’hui, journée exceptionnelle. Marianne a reçu de Bubu pour son anniversaire un bon cadeau à dépenser dans les boutiques du Polygone du Canet. Nous partons donc en matinée pour une séance exceptionnelle de lèche-vitrines et shopping à laquelle je suis peu habitué. Mais c’est quand même un plaisir d’être avec Bubu que nous ne voyons guère.
A midi, nous mangeons une pizza Marianne et moi tandis que Bubu choisit un tartare de thon.
La séance n’est pas terminée et l’après-midi est mise à profit pour continuer le shopping entamé le matin.
Les bras un peu chargés, nous rentrons au bercail pour attendre l’arrivée de Jordane, Alex et Lily qui se joignent à nous pour fêter demain l’anniversaire de Coline.

jeudi 26 septembre 2019

Espagne 2019 jeudi 26 septembre

Il fait toujours beau.
Alors que nous sommes en phase de réveil, Marianne dans la salle de bains, on frappe à la porte. Mais ce n’est pas simple d’ouvrir la porte lorsque le lit pavillon est baissé. Ce sont les enfants qui partent à l’école et viennent nous dire au-revoir.
Après avoir préparé un frugal pique-nique, nous partons promener sur les hauteur du Bar-sur-Loup à la recherche de quelques caches (géocaching). La montée est raide. Nous arrivons au village et le GPS nous guide jusqu’aux diverses caches, aidé par le téléphone de Marianne dont la batterie sur cette application faiblit rapidement. Marianne avait pris la veille une batterie additionnelle pour son portable, mais malheureusement elle s’est trompée de câble. Elle est donc inutilisable. Nous faisons avec (ou plutôt sans).
L’ascension nous amène à une pipeline dont la condensation nous montre le niveau intérieur, mais provoque une poussée de mousse sale qui nous empêche de le franchir sans trop nous salir. Les caches sont diverses, certaines dans les tunnel que franchit le pipeline. Au final en rampant sous le pipeline, nous arrivons à nos fins et trouvons les caches, mais pas toutes. En sortant de cette zone réservée à la gestion du pipeline, nous nous trouvons face à des barrières sur lesquelles sont apposées, dans l’autre sens, des panneaux interdisant le passage…



Au sommet nous pique-niquons et admirons la vue générale sur la région.
En repartant un peu plus au nord, nous nous approchons d’un complexe industriel nommé MAN. Nous sommes effarés du bruit produit par cette entreprise, bruit qui nuit gravement aux bien-être des habitants proches. Au moins aussi bruyant que la centrale du Tricastin.
La salsepareille laisse apparaître ses fruits. Elle est très présente dans cette région.



De même comme hier, nous constatons que les buis n'ont pas été ravagés par la pyrale du buis et sont actuellement parfaitement intacts.

Nous redescendons et au final, le GPS nous informe d’un dénivelé positif de 581 mètres. Mon genou droit me l’aurait bien dit. La descente est en effet plus pénible que la montée. Nous arrivons à notre lieu de villégiature juste à l’heure pour accueillir les enfants qui sortent du bus. April est un peu étonnée de nous y trouver.

mercredi 25 septembre 2019

Espagne 2019 mercredi 25 septembre 2019

Le parking au pied du village nous a accueillis la nuit et nous sommes frais et dispo au matin pour la balade qui contourne les rocher par l’arrière du village. Nous nous y engageons en montant au village et en prenant à droite vers le cimetière. Le chemin est empierré, étroit et nous sommes particulièrement surpris d’y trouver le panneau suivant, peut-être un trait d’humour de l’équipe municipale…




La vue sur le lac de Sainte-Croix est magnifique.



En route nous trouvons un rocher qui, avec un peu d’imagination, ressemble à un visage de profil.




Le sentier qui monte est nommé “Voie romaine”. Il s’agit d’une voie pierreuse bâtie à flanc de colline et particulièrement raide qui semble là depuis bien longtemps. Nous admirons les murets en pierres sèches.




Je constate une fois de plus que le volet de l’appareil photo ne s’ouvre pas en totalité. Cela se remarque par un coin noirci sur la photo. Certes, il est possible de l’aider un peu. Mais il faut y penser. Il faudra intervenir si c’est possible, mais comment?




Lors de l’ascension, que nous avions déjà faite il y a quelques années, nous apercevons la mention “Chaîne 400m” qui nous indique que la chaîne qui maintient l’étoile du chevalier en l’air n’est qu’à 400 mètres. Nous nous y dirigeons. Mais cela tient plus de l’alpinisme que de la balade pédestre. Et les sensations de vertige abondent. Pour la grande joie de Marianne. A franchir les premiers dix mètres, nous avons la vue sur le pic suivant et assurément la chaîne n’est pas sur ce pic là. Les 400 mètres annoncés constituent une petite erreur. Nous rebroussons chemin et contournons comme prévu la surélévation. En nous faufilant tant dans les petits sentiers qu’à travers la végétation un peu dense, tout en suivant le GPS, nous arrivons à notre fin.








Nous revenons en descendant le cours d’eau presqu’en cascade. Quelques panneaux mettent les promeneurs en garde les avertissant qu’il s’agit d’un parcours pour randonneurs expérimentés!!! Et arrivons finalement à la chapelle qui surplombe le village.







Nous sommes à temps pour nous rassasier d’un excellent croque-monsieur maison.
La route nous attend, direction Le-Bar-sur-Loup. Nous y arrivons vers 18 heures avec un peu de stress dû à la descente du chemin de l'Escure un peu étroit pour notre Carrosse.





mardi 24 septembre 2019

Espagne 2019 mardi 24 septembre 2019

Marianne a rendez-vous chez le coiffeur. Durant ce temps, je file chez Marie enlever les pizzas commandées quelques jours auparavant, ainsi qu’un pain nordique et quatre pains aux raisins. Mais à mon arrivée, la responsable regarde l’heure et en effet, j’avais commandé pour neuf heures. La commande n’est pas prête. Deux fours sont en panne. Une vendeuse est partie à Pierrelatte chercher les diverses commandes du jour, mais elle tarde un peu. Pour me faire patienter, la dame m’offre une dizaine de chouquettes. C’est bien aimable, mais cela ne peut pas durer. A moins d’une dizaine de chouquettes toutes les dix minutes   :-)
Finalement, la commande arrive. les pizzas ne semblent pas du jour. Je le fais remarquer et j’entends la réponse comme quoi il faut déjà être bien content d’en avoir… Certes!
Je rentre à la maison avec mon butin et termine les derniers chargements à savoir l’ordinateur, l’appareil photo …
Marianne m’appelle pour dire que son rendez-vous est terminé et je m’en vais la chercher. Il est un peu plus de dix heures quand nous prenons la route vers chez Bubu, gentiment, sans nous presser. Objectif: étape à Moustier-Sainte-Marie. Nous y arrivons courant d’après-midi et (Ô Victoire s’écrie Marianne) les boutiques sont toujours ouvertes. Nous ne manquons pas de nous préparer (moralement) à y faire un tour. Le temps est au beau et ce petit village qui nous ravit toujours fait notre bonheur du jour.

Malgré la sécheresse accrue, le petit ruisseau coule toujours au centre du village. C’est un peu ardu de capter sur la photo à la fois l’étoile dans le ciel et cette petite cascade. Mais l’affaire est faite.