jeudi 26 septembre 2019

Espagne 2019 jeudi 26 septembre

Il fait toujours beau.
Alors que nous sommes en phase de réveil, Marianne dans la salle de bains, on frappe à la porte. Mais ce n’est pas simple d’ouvrir la porte lorsque le lit pavillon est baissé. Ce sont les enfants qui partent à l’école et viennent nous dire au-revoir.
Après avoir préparé un frugal pique-nique, nous partons promener sur les hauteur du Bar-sur-Loup à la recherche de quelques caches (géocaching). La montée est raide. Nous arrivons au village et le GPS nous guide jusqu’aux diverses caches, aidé par le téléphone de Marianne dont la batterie sur cette application faiblit rapidement. Marianne avait pris la veille une batterie additionnelle pour son portable, mais malheureusement elle s’est trompée de câble. Elle est donc inutilisable. Nous faisons avec (ou plutôt sans).
L’ascension nous amène à une pipeline dont la condensation nous montre le niveau intérieur, mais provoque une poussée de mousse sale qui nous empêche de le franchir sans trop nous salir. Les caches sont diverses, certaines dans les tunnel que franchit le pipeline. Au final en rampant sous le pipeline, nous arrivons à nos fins et trouvons les caches, mais pas toutes. En sortant de cette zone réservée à la gestion du pipeline, nous nous trouvons face à des barrières sur lesquelles sont apposées, dans l’autre sens, des panneaux interdisant le passage…



Au sommet nous pique-niquons et admirons la vue générale sur la région.
En repartant un peu plus au nord, nous nous approchons d’un complexe industriel nommé MAN. Nous sommes effarés du bruit produit par cette entreprise, bruit qui nuit gravement aux bien-être des habitants proches. Au moins aussi bruyant que la centrale du Tricastin.
La salsepareille laisse apparaître ses fruits. Elle est très présente dans cette région.



De même comme hier, nous constatons que les buis n'ont pas été ravagés par la pyrale du buis et sont actuellement parfaitement intacts.

Nous redescendons et au final, le GPS nous informe d’un dénivelé positif de 581 mètres. Mon genou droit me l’aurait bien dit. La descente est en effet plus pénible que la montée. Nous arrivons à notre lieu de villégiature juste à l’heure pour accueillir les enfants qui sortent du bus. April est un peu étonnée de nous y trouver.

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