Le matin, nous partons à pieds à la découverte du centre ancien qui a gardé tout son caractère médiéval. Les échoppes son jolies et le plus souvent confinées dans d'anciennes maisons aux voûtes apparentes. Nous remarquons la tour de l'horloge, le pont romain et de nombreuses ruelles étroites qui forgent la caractère de cette bourgade. Nous taillons un brin de causette avec un antiquaire qui encaustiquait un secrétaire Louis Philippe sur sa devanture.
Fin de matinée, nous quittons les lieux pour nous rendre à Vézénobres. En chemin, nous sommes contraints de faire un détour, car un passage est limité à 2.20 m de haut. Il est préférable de contourner cet endroit si nous ne voulons pas de véhicule décapotable. Un parking est disponible et désert sur le chemin de l'ascension au village. Mais il est pentu. Nous mangeons sur place un curry massalé de sanglier.
Début d'après-midi, nous montons à l'assaut du village non sans avoir préparé la recherche de trois caches. Nous trouvons deux d'entre-elles, mais la troisième reste mystérieusement cachée. Nous ne sommes pas les seuls à avoir renoncé après plus de 30 minutes de recherche dans un périmètre de trois mètres, puisque les renseignements sur le lieu précis était à notre disposition. Mais sans doute pas assez précis encore.
Le village est de caractère et perché. Son ascension nous fait ressentir les muscles des jambes et nous rappelle que nous avons pédalé hier. Mais il n'empêche, les ruelles sont très belles, les façades et les calades aussi.
Nous nous arrêtons le temps de déguster une crêpe, au sucre roux pour Marianne et au miel et citron pour moi, avec un bol de cidre.
Le réservoir du château date du XVII°S et a deux fenêtres grillagées. les mailles sont tellement petites qu'il n'est pas aisé de prendre une photo de l'intérieur, mais avec le téléphone l'objectif est si petit qu'il permet de découvrir les colonnes intérieures.
En retrouvant le Carrosse, nous changeons de parking pour être plus à plat pour passer la nuit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire