dimanche 3 novembre 2019

Espagne 2019 dimanche 3 novembre

Ce matin, des "Oh" et des "Ahhh" de la part de nos voisins hollandais peu bavards qui s'étonnaient de voir sortir le tandem de la soute. Ils s'en approchent et merveille, nous pouvons leur apprendre qu'il existe des pédales rétractables. C'est tout de même quelque chose d'en apprendre en matière de vélo à des hollandais !!!

Nous sommes sur le point de partir, car la lessive vient d'être faite et les draps sont au fil entre deux arbres. Mais notre voisin de l'autre côté nous aborde au sujet de notre véhicule. Lui aussi avait envie d'un Notin, mais il s'est replié sur un Hymer. Nous palabrons sur les problèmes rencontrés, nombreux et variés. Ils prennent la route pour une autre destination.

Nous enfourchons notre monture et filons le long de l'eau en direction de Dénia. Comme ce n'est pas bien loin, nous y arrivons rapidement et sans encombre. Sur place, nous apercevons le fortin qui domine la ville. A sa vue, nous décidons de ne pas le visiter, car il ne nous inspire guère. Nous déposons le tandem et partons à pieds à la découverte du centre-ville.









Les restaurants sont tous ouverts, même si c'est dimanche. C'est d'autant plus normal qu'on est en zone et période touristiques. Par contre les autres commerces sont presque tous fermés sauf les bazars tenus par les chinois.

Nous jetons notre dévolu sur un restaurant et commandons une friture de poissons variés et une paëlla valenciennoise. Pour patienter, je demande un demi litre de sangria. Mais la dame me dit que c'est soit une coupe, soit un litre. Un litre, même si c'est les vacances il faut penser à rentrer en tandem. Je commande donc une coupe m'attendant à recevoir un peu comme une coupe de Champagne. Marianne commande un jus d'orange pressées. Et voila les deux verres. Mais ma coupe contenait pas loin du demi litre. Yes!


Le temps d'un thé, d'un café et de l'addition, et nous continuons notre petit périple dans la ville qui n'est pas bien grande. Le temps se couvre, quelques gouttes arrivent et nous poussent à ne pas tarder. De retour au bercail itinérant où nous arrivons au sec, nous profitons encore un peu du soleil, Marianne pour lire et moi pour quelques bricolages dont un peu de cordonnerie. En effet, une couture d'une de mes chaussures de marche s'était laissée aller. Je tente de réparer. Il faut une pince pour tenir l'aiguille et percer les deux épaisseur de cuir. Mais cela devrait le faire, car nous n'en avons plus pour trop longtemps malheureusement. Mais pour l'instant, nous ne pensons pas encore au retour, mais aux prochaines étapes.








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