vendredi 26 février 2021

Séjour rando et tandem dans le Vaucluse: vendredi 26 février 2021.

 3.5°C à 8h, soleil.

Journée contemplation. Aujourd'hui, l'objectif est de retourner face aux Dentelles pour les contempler bien à l'aise au soleil durant le pique-nique.

Les sacs étant prêts, nous partons vers 10h30 en direction du Col d'Alsau. Nous tournons en direction de la Tour Sarrazine.

Par chance, nous trouvons un petit supplément pour garnir notre menu: une belle pièce!





La tour Sarrazine est assurément une ancienne tour de guet, car elle domine largement la vaste plaine.


Elle est en bien triste état de ruines et peu de pierres de parement restent en place.




Petit panoramique avec la tour et la plaine au loin.


Le reste du parement...



Normalement, nous avions programmer de revenir au col d'Alsau par la même route. Or, nous remarquons sur le GPS un petit chemin que nous peinons à trouver. Il est étroit et la végétation le recouvre en presque totalité. C'est un peu aventureux, car à tout moment, nous doutons du bien fondé de l'emprunter. C'est un peu sinueux et présente l'ennui de camoufler l'horizon en totalité. Pas de vue jusqu'au sommet. Mais une fois au point haut, la vue attendue se révèle à nous.



Il semble qu'il y ait un peu de mouvement au sommet d'un des pitons. Le zoom est nécessaire.





Nous descendons un peu à tâtons les petits sentiers qui doivent nous mener à l'endroit de notre pique-nique. C'est parfois un peu scabreux, car les cailloux ne sont pas toujours stables.






La aussi, un peu de mouvement à flanc de falaise.






Nous dégustons nos pâtes froides aux poivrons cuits: un délice qui nous rassasie. La contemplation se poursuit plus d'une heure.

Nous revenons par le Col d'Alsau et le pied du Rocher du Midi pour arriver à Gigondas en milieu d'après-midi après 11 km de balade magnifique.





A notre arrivée à l'aire, notre voisine de l'autre jour en manque de contact est à nouveau là. Elle nous sollicite pour utiliser à nouveau notre entonnoir car elle n'est pas équipée pour l'eau de la fontaine. Et le manque persiste. Nous ne savons comment prendre de la distance. Nous reculons d'un pas mais elle avance vers nous! la distanciation est malaisée. Mais nous y parvenons. Elle est infirmière et travaille en remplacement dans les petites villes et villages. Et justement, elle nous dit qu'elle se dirige ce soir sur Bollène pour un remplacement. Nous lui indiquons quelques emplacements où loger avec son fourgon qu'elle habite à l'année.





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