Il est près de dix heures lorsque nous arrivons à l’entrée du Colorado de Provence. Le passage obligé s’effectue par l’accueil. Les tarifs sont réglementés et pour les piétons, le dépliant avec l’itinéraire est de 2€ par groupe, ce qui nous fait 0.5€ par personne. C’est raisonnable.
Ici aussi, nous sommes venus quelques fois depuis les années 80. Mais nous savons que nous nous régalerons des lieux. Le ciel est bleu, le Mistral absent: les conditions sont donc excellentes.
Nous sommes contents d’y arriver assez tôt, car en ce week-end, les visiteurs promeneurs risquent d’être assez nombreux. Le port du masque est recommandé en cas de fréquentation dense.
Passés l’entrée de quelques mètres, nous remarquons que le GR qui passe a proximité longe une autre entrée non payante !!!
Les contrastes dans ces couleurs d’ocres chatoyantes sont agréables et de toute beauté. Nous ne nous lassons pas de venir et revenir ici.
En chemin, nous découvrons un champs de kerns.
dans lequel il nous semble reconnaître une arlésienne…
Au grand dame d’Anne, Henri part à l’assaut d’un monticule et pose fièrement au sommet.
Néanmoins, durant la descente, la fierté est moins de mise, car le risque dérapage est élevé.
Durant cette visite très agréable, nous avons tenté de rejoindre la plus grande cheminée de fée qui ne figure maintenant plus sur le parcours ni sur le dépliant. Les chemins qui y mènent ne sont plus fléchés. On l’aperçoit juste de la route. Il faudrait y revenir pour y accéder, car c’est le plus bel endroit de ces carrières. Mais les promeneurs peu scrupuleux risquent évidemment de les dégrader. C’est sans doute pour cette raison que les chemins fléchés n’y mènent plus.
Sur l’aire de covoiturage, nous nous délectons de nos croques-monsieur habituels sidérant Anne et Henri qui nous voient généralement avaler des rations réduites et ici nous rassasier goulument de deux doubles croques copieux. Oui, pour une fois, c’est bombance. Et alors ???!!!
L’après-midi, nous visitons le village de Rustrel.
Malheureusement, tout est fermé, l’église, le moulin à huile, …
Pour laisser la fonction de covoiturage à l’aire que nous occupons, nous la quittons ce dimanche et roulons 48 km en direction de Saint-Martin-les-Eaux en nous arrêtant à Reillanne pour les services… Henri accroche l’arrière (plateau porte moto) en montant à l’aire. L’aire dispose de deux places qui sont occupées.
A Saint-Martin-les-Eaux, grand et beau parking.
Comme généralement nous suivons Henri et Anne qui roulent en PL, nous décelons qu’ils ont un problème de feux arrières sans doute dû à l’accrochage à l’aire de Reillanne. Henri sort ses outils et nous regardons quelle serait la cause du disfonctionnement. Nous ne trouvons pas. Henri force les contacts afin qu’ils soient meilleurs. Cela règle une bonne partie de la déficience, mais pas totalement. Le clignotant droit de son plateau arrière ne s’allume plus. Mais celui du véhicule reste cependant parfaitement visible.
Ah ils sont en PL?
RépondreSupprimerEncore une belle balade et de jolies photos!
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