lundi 15 juin 2020

Aveyron 2020 lundi 15 juin

Ce matin, le ciel se partage entre nuages et soleil avec une température de 13.5°C.

Les vélos sont prêts et nous partons par l'autre branche de la voie verte vers Espalion. Le parcours nous annonce plusieurs tunnels dont un seul éclairé. A l'entrée du premier, nous voyons des panneaux solaires et nous imaginons bien qu'une lumière va s'allumer, détectant notre passage. Mais que nenni, le noir persiste. Nous allumons donc nos phares aux vélos. Nous, c'est vite dit. Mais pas tous. En effet, nos comparses ne trouvent pas les interrupteurs et roulent dans l'obscurité tentant de nous suivre à la lueur de notre feu arrière pour Anne qui, tout d'un coup chute dans un bruit sourd et mat sans cri sans doute malgré la douleur. Nous faisons demi-tour pour l'assister, avec toutes les difficultés liées à la distanciation. Heureusement, plus de peur que de mal malgré quelques égratignures et le fait d'être défranchie pour la suite de la balade à vélo. Mais tout se poursuit presque normalement.


Les paysages sont vraiment jolis. Et nous nous en réjouissons. Tout à coup, alors que nous nous étions arrêtés sur un viaduc, Henri nous interpelle: il vient d'apercevoir un chevreuil en contrebas. Avec une telle différence de hauteur, l'animal ne nous a pas aperçu.




Le château de Calmont d'Olt retient notre attention, car nous l'apercevons souvent, le circuit effectuant des circonvolutions. 




Vers midi, nous nous arrêtons dans le parc d'Espalion pour le pique-nique. Pour nous des wraps jambon fromage moutarde et abricots. Nous en profitons pour visiter la ville. Comble de chance (ça n'arrive qu'à la canaille!) Anne trouve un billet de 10€. Nous en profitons pour aller boire un café. Et continuons à visiter la ville.


















Nous prenons l'option de revenir par la route afin d'éviter d'accomplir deux fois le même trajet. Et nous faisons bien, car le parcours est pittoresque. Nous passons par le hameau de Saint-Pierre-de-Bessuéjouls où se trouve une petite église commandée par la sœur du roi Dagobert, celui qui mettait sa culotte à l'envers. Elle est intéressante car une chapelle complémentaire se trouve à l'étage accessible par deux escaliers dissimulés dans l'épaisseur des murs.













Un peu plus loin, nous nous arrêtons près de ce qui semble être un ancien couvent. Le lieu est un peu magique tant par sa simplicité que par son charme.




De retour au Trou de Bozoul, nous prenons une bière entre hommes et les femmes un chocolat chaud au bistrot surplombant le gouffre.




















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