mardi 27 septembre 2022

Maroc 2022 mardi 27 septembre

Le matin, nous effectuons les services sauf l’eau, rangeons nos effets et achetons encore quelques dates Medjoul à un prix de l’ordre de 50% de ce qu’on peut trouver en France, avec le loisir de les choisir une par une dans des cagettes. Au moment du départ, Hassan nous offre à chaque couple un petit porte bougie en sélénite. Nous le saluons lui promettant d’être rabatteur pour lui envoyer du monde.

En route nous passons devant le geyser des Sources El Aati. Mais Hassan nous ayant informé qu’il n’y a pas d’eau, nous ne nous y arrêtons pas.







Peu avant Merzouga, nous nous arrêtons à l’Hôtel Ksar qu’Anne et Henri connaissait pour s’y être arrêtés voici dix ans. Mais les lieux ont évolué, en bien, et la dune qui se rapprochait de l’hôtel a été rabotée et transformée en une aire spacieuse. Nous nous installons donc au pied des dunes avec une vue très agréable sur l’erg voisin.









D’autres voyageurs arrivent peu après nous et l’un d’eux s’ensable sur l’aire. Nous sortons les pelles…

Au dire de nos hôtes, il faut vidanger sur place. Nous faisons donc chacun un trou pour l’écoulement des eaux…

Le temps de nous mettre en place, il est l’heure de manger. Salade de tomates Mozzarella olives.

L’après-midi, nous nous installons au bord de la piscine espérant pouvoir en profiter. Mais Marianne qui s’approchait du bord pour tâter l’eau se fait volontairement et copieusement éclabousser par Henri. Ce n’est évidemment pas du goût de ma tendre et chère qui déteste ce genre de situation, et se reclut à l’ombre. Henri comprend à mes dires qu’il a outrepassé le ton de la plaisanterie ignorant que Marianne était à ce point sensible à l’eau. Mais nous lui avions déjà expliqué alors que nous nagions ensemble dans le lac au Verdon. Et malgré ses excuses, Marianne préfère ne plus s’en approcher.

Alors que nous étions dans l’eau (pas tous si vous suivez bien) l’un des membres du staff vient nous proposer à manger pour demain. Nous commandons un tagine kefta avec des légumes non en salade comme proposé, mais cuits dans le tajine. Il accepte. Jean-Paul commande en plus des frites : il y en a. Et finalement, nous demandons l’heure et convenons de 13 h demain. A ces dire il me répond : « Ok, trois heures ». Je précise qu’il s’agit bien d’une heure de l’après-midi. Aurons-nous nos plats comme demandé ? Mais ce n’est qu’à ce moment que Marie-France demande : « Et pour quel prix ? ». Et là, tout tombe à l’eau car j’ignorais que ces préparatifs de menus s’étaient effectués sans information préalable sur les conditions…

De retour au stationnement, Henri constate qu'il ne capte pas.  Nous tentons de trouver une solution, tant par l'orientation de l'antenne qu'en modifiant la fréquence du décodeur. En vain. Il faudra revenir aux vieux plaisirs.



En soirée, après avoir mangé chacun dans son coin, nous nous installons pour regarder les étoiles. La voie lactée est magnifique. Marianne observe le ciel et à chaque fois que je lui demande : « Ça y est, tu l’as vue cette étoile filante ? » « Non, j’avais les yeux fermés !!! » Mais au final elle en verra quand même deux dont une assez spéciale avec une aura.

Vers dix heures chacun rentre pour la nuit. Le vent se lève et vers minuit chacun ressort pour rentrer l’un ses meubles, l’autre son linge. La pluie est de la partie. Le Carrosse est un peu secoué. Nous entendons le sable venant des dunes…

 

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