mercredi 28 février 2018

Maroc mercredi 28 février 2018

Les pleins et vidanges sont faits et nous prenons la route. Elle ne présente guère d’intérêt. 67 km seulement nous séparent de Meknès où nous arrivons vers 11 heures. Nous nous garons en ville à un endroit autorisé et payant pour la nuit à proximité du centre-ville. Nous essayons de prendre nos points de repère sur base des souvenirs de Michbeth qui y sont déjà venus mais voici belle lurette. Et nous nous égarons à plusieurs reprises, mais finissons par trouver la médina juste après la place El Edim et l’entrée du marché couvert où nous souhaitons faire le plein de petits gâteaux marocains. Faut-ils dire qu’ils nous ont bien rassasiés durant le séjour et que nous en gardons un excellent souvenir, trop sucrés pour Michel. Nous goûtons à qui mieux mieux et demandons que les boîtes soient bien pleines. Nous passons d’un étal à l’autre et finissons par ressortir un peu encombrés de nos paquets. Nous revenons au camping-car pour déposer tout cela avant d’y retourner tant pour le souk où Elisabeth tente de trouver des verres d’un modèle typiquement marocain dont elle semble être tombée amoureuse sans doute plus que Michel.

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Nous allons visiter la Medersa Bou Inania dont le tour est vite fait et profitons sans doute des derniers rayons du soleil pour prendre les photos de cet endroit admirablement décoré comme un palais oriental.

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Un restaurant se propose à nous et nous y entrons déguster, pour Michbeth un couscous poulet légume, pour Marianne un tajine au poulet, pour moi un tajine au poulet citron et olives. Pour ma part, je me suis régalé, Elisabeth a dû compter sur le concours de Michel pour terminer son assiette et Marianne a trouvé son tajine très peu oriental. Nous prenons un thé en dessert et reprenons la route. Mais en chemin, nous nous disons qu’il y a certainement une variété de petits gâteaux qui nous manque et nous retournons au marché couvert pour un kilo supplémentaire. Nous revenons au camping-car en passant devant la grande porte Bab Mansour.

Le ciel se couvre et la pluie est tellement menaçante que, le souvenir du dernier déluge n’étant pas loin, nous n’osons pas poursuivre. La météo à dix jours nous annonce dix jours de pluie où que nous puissions aller au Maroc. Il est vraisemblable que nous fassions étape à Chefchaouen, mais que s’il pleut ce ne sera qu’une étape technique avant le retour anticipé sur Tanger Med. Rien de drôle dans tout cela. Nous aurions préféré rester plus longtemps dans le sud où il faisait meilleur.

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