16°C à 8h, soleil.
A Imsouane, la vie sera calme... Le camping n'a pas d'étoiles car il n'en mérite pas. Son seul mérite est sa présence. Sur les six douches, une n'a pas de porte, quatre ne ferment pas, la dernière n'a pas de patère. Et Anne et Henri qui ont une fuite actuellement irréparable à leur centrale de chauffe ne peuvent se servir que de ces douches et jugent chaque jour de la situation.
Mais quoi qu'il en soit, le patron nous rassure lorsqu'il nous dit que pour une question de sécurité, le portail est refermé tous les soirs...
Un peu de ménage s'avère parfois nécessaire.
Anne et Henri attendent l'arrivée de leur fils Thomas, surfeur averti qui apprécie ce site sur lequel il est déjà venu à plusieurs reprises. A distance, il nous a conseillé un resto au village dont nous voulons profiter ce midi. Nous nous régalons avec un jus d'orange frais en apéro, des tajines de calamar, viande et en dessert des Msemens (crêpes) à l'amlou ou au chocolat selon... Nous sortons de là bien rassasiés et nous avançons sur une autre terrasse face à la mer pour prendre un thé en regardant la mer et les surfeurs.
Nous revenons au camping pour digérer au calme des transats ou ce qu'il en reste. En chemin, la vue sur la camping montre que certains logements sont en forme de petits bateaux.
Samedi 5 novembre 2022.
17°C à 8h, soleil.
Relax Max, toute la matinée avec un petit tour pour acheter du pain au village.
A midi, salade de fenouil, pomme, noix, Comté, huile d'argan, toujours très bon. Crumble express en dessert.
28°C et soleil. Que rêver de mieux en novembre.
Anne et Henri accueillent Thomas qui arrive en retard contraint par une étape à Marrakech au lieu d'un direct à Agadir en raison de la météo poisseuse en bord de mer.
Nous partons nous balader au-dessus des rochers pour regarder les surfeurs qui nous offrent parfois de très beaux spectacles.
Il faut très souvent ruser pour éviter les immondices sur les photos. Il y en a partout...
Courant d'après-midi, nous apercevons un nuage qui se dessine à l'horizon. Il ressemble à s'y méprendre à un vent de sable. Qu'allons-nous ramasser sur le cabus ?
Parfois un burkini. Ici, c'est de mise... |
Les chats et les chiens pullulent au Maroc. Personne ne les nourrit. Alors ils se débrouillent. |
Thomas. Mais il faut le savoir... |
Des poubelles en bord de mer! Pour les y vider lorsqu'elles sont pleines ??? |
Au loin, une belle écume. Il faut y aller. |
Je ne suis pas le seul paparazzi ! |
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