vendredi 8 octobre 2021

Espagne au p'tit bonheur 2021: vendredi 8 octobre

20° à 8h, couvert.

Sans tarder ni trop se presser, nous filons de l'Altet (Elche) à Carthagène où nous arrivons à 11h20 après 127 km de routes larges et rapides.

Le casse-croûte est servi tôt: salade de haricots verts, tomates, olives noires, panacotta à la crème de marron (Oui, passage obligé car il n'y a plus de riz au lait depuis... un certain temps! Mais ce n'est pas triste, car la panacotta est particulièrement délicieuse).

Anne et Henri sont déjà venus et nous les suivons. Mais nos guides se perdent un peu dans les ruelles et Anne nous assure de notre erreur de vouloir suivre Henri pour s'orienter. Après quelques détours, nous trouvons les anciennes arènes en cours de restauration (ils vont avoir bien du mal) et montons à pieds au château. Les écarts de niveau sont importants. Au point d'avoir mis un ascenseur pour passer du niveau des arènes au jardin du château. Mais de nombreux sentiers sont barrés pour cause de travaux et nous devons trouver des chemins détournés.










De là, nous souhaitons descendre par l'ascenseur. Pour y accéder il faut traverser une longue et haute passerelle, ce qui a lieu d'enclencher un sérieux vertige chez Marianne qui se serre à moi comme aux premiers jours de notre rencontre. Quel bonheur! Et tout cela pour constater que l'ascenseur est payant par personne! Au grand dam de Marianne il faut retraverser la passerelle. le vertige est encore plus fort au retour. Son étreinte aussi. Deux étreintes de bonheur en moins de deux minutes: ça m'a rajeuni...

Durant la descente, nous rencontrons...

... un magnolia bien enraciné...


... et un étrange individu à la tête pas tibulaire mais presque.



Tout à mon émotion, (des deux étreintes, pas de l'individu!) je suis le groupe des quatre qui redescend au niveau de la rue principale, pavée de marbre et bordée d'immeubles de style. Nous découvrons les efforts urbains de l'Espagne qui vise à sauvegarder les façades de style des immeubles anciens en les alliant à la modernité et au confort du neuf. Ce qui fait un patchwork assez réussi.




D'autres immeubles d'un très beau style borde cette avenue très classe.











Marianne fait une rencontre qui, bien qu'elle lui fasse du pied, s'avère finalement assez taiseuse. 




Un des petits magnolias en fruits de la place...

A ce stade, comment bien terminer la journée si bien commencée ? Marianne consulte son téléphone et nous décroche un glacier noté 4.8 situé à 200 mètres. L'aubaine. Il nous faut peu de temps pour le rejoindre. Nous y prenons chacun un cornet qui s'avère fameux bien que le serveur ait été un peu rapiat sur le service des boules à la spatule.

Sur le chemin du retour, nous nous égarons l'espace d'un instant dans un bazar chinois, l'un pour de la graisse en tube, l'autre pour un morceau de tuyau pour le skyroof, ... Mais nos compagnes tombent inopinément sur le rayon textile et le mettent à mal. Tout à leur honneur, ce n'est que pour renouveler notre garde-robe masculine de quelques T-shirts et polos divers d'été.

Ce n'est qu'à 19h15 que nous rentrons dans nos logis respectifs, Mouss n'en pouvant plus d'une telle balade de 17000 pas pour nous, alors combien pour elle ?!



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