dimanche 21 novembre 2021

Espagne au p'tit bonheur 2021: samedi 20 et dimanche 21 novembre

Samedi 20 novembre

16° à 8h, pluie. La météo ne se trompe pas. Les prochains jours sont annoncés pluvieux et frais. L'hiver approche.

A 10h, seulement 17° et toujours gris.

Nous partons au marché. Mais s'il est grand et long avec de nombreuses échoppes, il n'y a que des fripes, pas d'alimentation sinon des churros (que nous arrivons à dépasser sans en acheter. Faut dire que la file était longue...)

De là, un peu de shopping profitant de l'ouverture des magasins. Nous nous enfilons une belle série de chausseurs. Marianne avait trouvé hier une paire qui lui semblait parfaite, mais l'avait laissée là... Nous y revenons. Sont-elles toujours parfaites ? Puis d'autres, mais la pointure idéale n'était pas disponible. J'en essaie également et tombe sur le même problème. L'ordinateur du comptoir signale à la vendeuse que le stock est épuisé dans ces pointures, mais les modèles sont encore disponibles en d'autres points de vente de la ville. Il faudra revenir l'après-midi pour les essayer lorsqu'elles seront arrivées.

En attendant, nous mangeons d'excellents spaghetti Souveryns, bien relevés. Un régal. En dessert, j'épluche une clémentine. Puis une autre. Il en reste trois dans le sac. Je demande à Marianne: "On les mange ou on les garde pour une autre fois ?". Elle me répond du tac au tac: "non, on les garde, on passe au nougat! "

Et c'est ainsi qu'un pèse personne devient un accessoire indispensable dans un camping-car...

Finalement, nous ne touchons pas au nougat, nous préférons rejoindre le bord de mer où se trouve toujours l'excellent glacier. Cornet deux boules de belle taille, ... au nougat évidemment...



Nous sommes un peu sciés de voir combien les algues ont envahi la plage où nous étions voici à peine quelques semaines.

Nous repassons voir les godasses. En y allant, Marianne m'informe qu'une ampoule se forme au talon. Nous ralentissons le pas. Fort heureusement une paire lui convient. Elle la portera aux pieds pour le retour évitant l'ampoule en formation par la même occasion.


Dimanche 21 novembre

14° à 8h, pluie soutenue, la suite de la nuit... Cela promet pour récupérer les cales et effectuer les services avant le départ. Mais je profite d'une accalmie qui ne me pouille guère et j'en suis bien heureux. Le plein est fait, les vidanges aussi. En avant, suivons les recommandations de Tomtom. Mais il semble de mauvaise humeur. Non seulement il perd la voix, mais en plus, allonge d'un coup le parcours avant le départ, mais en cours de route il le multiplie par plus de cinq... Nous ne devrions donc d'après lui arriver que tard dans la nuit à notre prochaine étape. Un bon coup sur l'interrupteur pour qu'il se taise l'espace d'un instant et surtout qu'il prenne conscience qu'il faut qu'il se calme. Au bout d'un moment, nous lui redonnons la parole et en effet, il arrive plus calme. Un séjour au coin lui aura fait le plus grand bien...

A midi, arrivés à Moncofa sur une aire bien chargée, nous confectionnons des wraps. Le poivre, la coriandre et le saumon nous paraissent à tous les deux assez insipides. Nous nous demandons si le Covid-19 ne nous aurait pas enlevé le goût...???

Une petite balade nous permet de voir l'ermitage de Santa Maria Magdalena. Il est fermé, mais un trou dans la porte via le judas nous permet d'apercevoir l'intérieur malgré tout.


Petit lustre discret devant l'ermitage.

Par le trou du Judas

Un voisin qui nous regarde de haut...







vendredi 19 novembre 2021

Espagne au p'tit bonheur 2021: mercredi 17 à vendredi 19 novembre

Mercredi 17 novembre

13.5° à 8h, soleil.

La route entre Aguilas et Isla Plana est très belle. Merci à Anne et Henri de nous l'avoir renseignée.





C'est vers 11h30 que nous arrivons au bivouac sous un ciel partiellement nuageux. Nous allons nous promener jusqu'au centre du village Isla Plana et y voyons la chapelle, la jetée, les anciens bains chauds, ainsi que la petite ile face au village. Mais le ciel se couvre de plus en plus.






A midi, nous avalons un wok de dinde sauce soja maison, riz et en dessert compote de pommes châtaignes et dattes fraîches.

A 14h30 nous avons 19°, ciel couvert. Pas drôle. Mais c'est pire ailleurs. Le changement est notable depuis hier...


Jeudi 18 novembre

14° à 8h, pluie.

Voici un temps, nous avons voulu faire reproduire une clef du Carrosse avec télécommande. Devis de 180e chez Fiat (gloup!) et 80€ chez un autre serrurier. (mieux!). Beaucoup disent qu'en Espagne, c'est plus abordable. Nous cherchons donc qui pourrait le faire. Tous nous disent dans les villages où nous passons que nous devrions trouver cela à Carthagène. Nous nous garons dans un centre commercial et après quelques hésitations dans le labyrinthe de ce centre commercial, nous trouvons Mister Minut. Un grand poster annonce: "Toutes les clefs de voitures pour toutes les marques". Je présente la clef à reproduire et la gars d'un air désolé me dit qu'il ne peut pas la copier, il n'est pas équipé pour Fiat. Mais, bien aimable, nous donne les références d'un collègue serrurier situé à quelques km dans la ville. Nous nous y rendons. Je montre la clef, et en effet, il me confirme qu'il peut la copier. Le prix ?  160€. Je l'ai aimablement remercié et ai tourné les talons. Ce sera sans doute pour une autre fois...

Nous repartons et passons devant un concessionnaire caravanes et camping-cars. Nous nous y arrêtons et, bingo, ils ont les pièces pour le dépannage du joint de la casette WC de rechange. De plus à un prix inférieur à celui d'Internet... Nous prenons, ainsi qu'une petite table pour surélever le Cadac. Sait-on jamais...

Il nous reste encore un peu de route et au final, nous arrivons à un parking proche d'une aire. Nous restons sur le parking pour casser la graine. Au menu: civet de chevreuil sauce grand-veneur, pdt, panacotta à la crème de marrons.

Mais dès notre arrivée, nous constatons que nous sommes exactement sous une ligne aérienne particulièrement bien fréquentée. Les avions, de petits jets sans doute d'origine espagnole, nous rasent pour atterrir pas loin dans un vacarme assourdissant. A chaque fois, nous avons le sentiment qu'il veut atterrir sur le parking. Nous réussissons à en prendre quelques-uns en photos, mais elles ne sont pas parlantes. Je replie donc l'appareil. Et tout à coup, le vacarme est plus assourdissant que les précédents, le vrombissement aussi. C'est un Hercule qui nous rase de près. Malheur, cela va trop vite, trop tard pour l'appareil photo. Vraiment dommage. D'autant qu'une vidéo aurait apporté le son...


Assurément, nous n'y resterons pas la nuit...

Nous profitons d'un Mercadona pour faire quelques courses dont certaines pour Noël.

A San Javier, nous effectuons les vidanges et pleins. Bonne affaire, il s'agit d'une borne Euro relais. Voici un certains temps, nous avions récupéré quelques jetons Euro relais à Moustier-Sainte-Marie suite à la défaillance de la borne. Ces jetons ne nous avaient rien coûté. Mais pour cette borne, il ne s'agit pas du même format. Ils n'entrent pas. Je vais donc à la caisse de la station, explique la situation en montrant le jeton. Le gars me le prend, m'en donne un autre et me rembourse un euro. Super, le bénéfice est toujours agréable... LOL.

A Pueblo Latino, le bivouac prévu n'est pas bien adapté. Non seulement c'est en pente, mais c'est juste devant des habitations particulières. Nous avançons un  peu et un km plus loin, nous trouvons un parking déjà partagé. Nous trouvons un emplacement de niveau. La mer démontée nous apporte un franc bruit de vagues... 17.5° nuageux, venteux...




Au moment de mettre la TV en route, l'antenne tourne dans le vide. Cela dure tant que l'anomalie est au rendez-vous. J'éteints, je rallume. Idem. Nous avons déjà eu le coup. L'antenne ne tourne pas sur 360°, mais sur 358. Nous sommes donc juste dans l'angle mort. En déplaçant le Carrosse de 50 cm et en virant un peu, tout rentre dans l'ordre.


Vendredi 19 novembre

16° à 8 h, pluie...

La nuit a été bonne malgré la mer bien agitée, le vent et la pluie.

C'est vers 12h45 que nous arrivons à Calpe. L'aire de Marisol est encore disponible. Nous réservons un emplacement pour deux nuits. 

A midi, repas de fête, une fois de plus, meilleur qu'au resto: chipirons y croûtons sur lit de mâche et tomate, panacotta à la crème de marrons.

A peine étions nous arrivés qu'un autre camping-car manœuvre et accroche celui de notre voisin.  Ce sont tous des hollandais. Nous les laissons s'expliquer entre eux. Parfois avec des mots, attitudes et échanges de regards un peu vifs. Mais les dégâts ne sont pas violents, tout devrait partir avec un coup de polish.

L'après-midi, nous enfilons notre veste et filons en ville. Objectif de Marianne: faire les boutiques. Objectif de William: trouver un glacier ouvert. Les deux sont atteints. Au final, nous parcourons les deux plages ainsi que le centre ville commercial, entrons dans un nombre incalculable de boutiques. De retour, nous ramenons tout de même deux achats et un regret, celui de ne pas avoir acheté une paire de chaussures. Il faudra donc y retourner demain.... Sur le retour, plus de soleil. Mais nous avons trouvé un raccourci et rentrons avant d'avoir trop froid.










 

mercredi 17 novembre 2021

Espagne au p'tit bonheur 2021: mardi 16 novembre

8.5° à 8h, soleil... ça caille encore.

Voici deux jours que nous sommes là, immobiles. Et ce matin, nous constatons que les eaux grises se sont déversées sur le sol. Notre vanne est ouverte. D'une part, je suis certain de l'avoir fermée lors des dernières vidanges. D'autre part, hier durant la journée, aucune flaque n'était visible à cet endroit. Que s'est-il passé ? Mystère et boule de gomme!! Je referme la vanne... Et nous nous souvenons, du coup, tous les deux d'avoir entendu un bruit suspect hier soir, sans avoir réagi l'un et l'autre.

Nous passons à la plage des galets noirs en vue d'effectuer les services. La trappe est accessible, mais plus d'eau aux douches. Nous sommes donc un peu de la revue. Certes, nous pouvons vidanger les toilettes, les eaux grises étant déjà vidangées comme dit plus haut. Et il nous faut sacrifier une bouteille d'eau pour rincer les toilettes. 

Marianne qui avait fait une petite lessive juste avant le départ comptait sur l'eau de la douche pour rincer le linge. Tu peux te brosser Marianne. Il faudra donc puiser dans la réserve.

Nous retournons sur les plages enchanteresses que nous avions connues avec Anne et Henri. Il y en a plusieurs complètes ou très chargées. Nous en visitons d'autres et trouvons une place plutôt de niveau. Comme la météo des prochains n'est pas brillante, nous sortons les sièges et les installons à la plage. Le temps passera sur nous au point que nous ne mangerons qu'à l'heure espagnole. Salade de coco plats, thon à l'huile œufs durs, olives, prunes et dattes en dessert.








Nous y retournons l'après-midi, mais pas très longtemps, car le soleil descend vite et le fond de l'air se rafraîchit. Une fois les sièges rangés, nous partons tenter de monter la colline qui domine notre plage. Mais pour y parvenir, aucun chemin, juste du hors-piste. Très peu pour Marianne. 







lundi 15 novembre 2021

Espagne au p'tit bonheur 2021: lundi 15 novembre

13.5° à 8h, soleil

Le levé de soleil était joli, vu du lit. Trop paresseux pour prendre l'appareil photo et en saisir l'instant...

Cool cool ce matin. Nous partons à pieds le long des plages par la promenade jusqu'à  l'autre côté du village où nous étions avec Anne et Henri sur les galets noirs. Quelques camping-cars y sont encore. L'eau coule toujours à la douche et il reste possible de vidanger.





Une usine de produits agricoles, sans doute phytosanitaires lâche dans l'atmosphère des gaz qui ne sentent pas la rose. De plus, le bruit est nettement perceptible ce qui n'est pas très arrangeant.

En face, d'anciens couloirs souterrains sont légions dans la montagne.



A notre retour, un pick-up tire une petite cellule. L'ensemble fait sans doute plus de douze mètres. Joli joli. Mais à conduire, pas sûr que ce soit aisé de ne pas se laisser emporter dans les virages.


Nous avons 21° à midi et il serait sans doute possible de manger dehors s'il n'y avait pas autant de vent. Nous avalons goulûment un plat de pâtes à l'octopus et tomates avec, en dessert, quelques prunes et quelques dattes Medjoul fraîches.

Ensuite, nous nous disons que les beaux jours ne sont peut-être pas devant nous. Au lieu d'aller balader, nous profitons, peut-être une des dernières fois de ce séjour, de la douceur du soleil en cette après-midi presqu'estivale.

Il y a pire comme situation.









 

dimanche 14 novembre 2021

Espagne au p'tit bonheur 2021: dimanche 14 novembre.

12.5° à 8h, soleil et peu de nuages.

Notre Zami Notin nous a signalé hier la présence d'un joli marché local à proximité dans la ville. Nous partons donc dans cette direction sans vraiment savoir où il se tient. Mais à voir les badauds en sens inverse avec des sacs pleins, nous pensons être sur la bonne voie.

Le marché est vaste et tient sur plus de 500 mètres. Les étals sont magnifiques et les produits, de qualité, nous semblent, enfin au juste prix pour un marché. Quelques exemples: tomates cerises cœur de pigeon à 1€/kg, de belles et grosses mangues mûres et juteuses à 2.80€/kg, des clémentines fraîches et non calibrées à 1€/kg, et le clou, des dattes Medjoul fraîches (donc non séchées) à 6€/kg, ... Suite aux courses hier au Mercadona et Lidl, le frigo était plein. Ici, il va assurément déborder.

En partant, Marianne pleure presque, car nous n'avons pas fait une halte au stand des churros. Alors nous faisons demi-tour pour faire file. Cinq beaux churros pour ... 1€. Mais le sucre semble cher car il y en a peu...  :-)






Une fois tout rangé, nous reprenons la route vers Huercal Overa où nous comptons visiter la ville et faire les services. Une grande place sert d'aire, les services sont disponibles et l'eau y coule sans besoin de mettre la main au portefeuille, bien que la station soit équipée d'un monnayeur. 

D'abord, nous mettons la table et durant la cuisson du riz noir, Marianne entame une petite lessive profitant d'avoir de l'eau à profusion. Le riz noir acheté au Mercadona ne nous semblant pas bien garni, nous avions acheté en même temps une ration de soupions que nous ajoutons. Mais ils lâchent tant d'eau que la cuisson doit se prolonger. Il faut y ajouter du poivre et du sel. C'est effectivement bien noir. Marianne qui, après les churros n'a plus très faim, partage le riz noir en deux parts non égales, la mienne emplissant bien mon assiette. C'est un peu moyen en qualité, mais l'estomac ne réclame rien derrière. Nous suivons malgré tout avec quelques clémentines du marché, excellentes par ailleurs. Les assiettes restent marquées par l'encre du riz noir et, en passant devant un miroir, je m'effraie un peu en voyant qu'il m'en reste encore au moins pour vingt francs entre mes dents.

Le temps de boirleter (boire le thé) et nous vidangeons. L'eau est bonne et peu chlorée. Nous faisons le plein des bouteilles et des jerrycans.

Puis, vient un espace temps un peu indéfinissable dans ce que nous pensions faire la découverte de la ville tant décriée dans le guide vert. Nous cherchons le centre ville. Evidemment tout est fermé, y compris le glacier... Une balade nous mènerait bien jusqu'à la vieille tour, mais il ne semble pas qu'il y ait grand chose à y voir.


Puis, voulant nous organiser et suivre Google, nous tombons malgré tout dans un aléa de ruelles dans lesquelles nous découvrons un peu de tout, sauf les étoiles de la ville.





Bien entendu l'église était fermée. Alors que le guide vert nous recommandait l'observation d'un retable exceptionnel. Nous réussissons à le voir...



... sur la photo à l'entrée...

Très belle place sur cette photo...

... si on néglige son environnement...


Qu'est-ce donc ?

Voici la réponse...

Malgré les protestations de notre voisin un peu collant (fallait reculer à chaque pas qu'il avançait vers nous) nous vantant le marché de demain, nous reprenons la route et descendons de 280 m vers notre stationnement du matin. Nous y arrivons bien avant le coucher du soleil qui disparaît sans couleurs spectaculaires, les nuages étant totalement absents.

Demain sera un autre jour. Et si tout va bien, nous irons balader au pied d'autres mines.




 

samedi 13 novembre 2021

Espagne au p'tit bonheur 2021: samedi 13 novembre

16.5° ) 8h, nuageux.

La nuit a été "chaude": sommeil perturbé, bruit des vagues proches.

Nous retraversons Mojacar que nous trouvons bien désert par rapport à la descente avec Henri et Anne.

Le Mercadona nous accueille pour des courses absolument nécessaires. En effet, le frigo et le congélateur faisaient écho... Nous trouvons du melon, mais maintenant à 1.75€/kg ce qui nous mène le melon à 7.50€ !!! Le caddie est bien chargé. Par bonheur, nous avons une place juste en face.

A 13h, 20° nuages et soleil.

Très étonnés, nous trouvons une fois de plus des chipirons dans notre caddie. Comment sont-ils arrivés là. Il faut bien que nous les mangions. Le pain aux noix de Mercadona est une valeur sûre. Les croûtons font la paire avec les chipirons posés sur un lit de mâche et tomates...


Ok, c'est une vraie répétitions. L'essentiel est de se rassasier. Et si c'est avec plaisir ce n'est que mieux. En dessert, compote pommes châtaignes.

Mojacar le vieux est classé parmi les plus beaux villages d'Espagne. Mais si la visite reste intéressante pour le caractère blanc du village, il ne faudrait  peut-être pas lui accorder trop d'étoiles. Quelques belles et intéressantes boutiques qui... ferment à 14h... horaire espagnol oblige. Nous n'arrivons pas à nous y faire. A revenir, nous ferons sans doute pareil et prendrons la pause midi dès 14h, sans doute pas avant.









La gamelle est pleine: les dents du fond beignent...





A Garrucha, un très beau camping-car et un ancien fort côtier. Bien entendu, il est fermé.




Un nouvel arrêt s'impose à Lidl, car Mercadona ne proposait pas de prunes et nous manquons de compote pour le crumble express... Et nous en profitons pour acheter un pot de crème de Turron, ceci afin d'expérimenter une panacotta au Turron. Nous vous tiendrons informés (si c'est très bon, quand il n'y en aura plus !!!)

Arrêt suivant au sud de Villaricos: une très grande aire sauvage nous appelle. Un Zami Notin nous y a précédé, ainsi de nombreux autres...








Au programme, compote de prunes... Heureusement, nous n'avions pas jeté les bocaux...