Espagne au p'tit bonheur 2021: mardi 2 novembre

16° à 8h, soleil. 

Le matin, le chauffage programmé a repris automatiquement quelques minutes. Il faut dire qu'en nous éloignant des côtes de 15 km,  nous avons perdu le vent tempétueux, gagné 6° de la journée, mais perdu autant le matin. Nous sommes à 340 m d'altitude.

Ce matin, nous partons et, via l'OT effectuons la visite touristique de la ville. Des incrustations au sol guident les touristes. Mais il faut encore les voir...

Ce village, comme beaucoup en Espagne, est d'origine arabe. Est-ce pour cela qu'il y a tant de barreaudage aux fenêtres?

Puis, nous restons un instant en admiration devant une œuvre artistique dont nous ne comprenons pas bien le sens ni ce que l'artiste a voulu exprimer. Nous vous la soumettons. Peut-être pourrez-vous nous en dire plus? (Photo ci-dessous)

Dans les villages arabes, autrefois, il ne devait pas être possible d'effectuer un lien entre le rang social et la qualité de l'habitation. Pour cette raison, derrière la porte d'entrée se trouvait toujours un hall qui distribuait sur les autres pièces de la maison. Si la porte d'entrée était ouverte, les autres portes du hall devaient restées fermées de sorte que l'on ne puisse apercevoir l'intérieur depuis l'extérieur. Voici quelques halls en question.

Au menu ce midi, sanglier massalé, riz, crumble express aux prunes du jardin.

A 13h30, nous avons 25.5°, plein soleil.

Vers 14h30, nous chaussons nos godasses et repartons visiter un ensemble archéologique proche de Berja. Il s'agit d'un amphithéâtre romain datant du II°S Av JC. Il faut un peu d'imagination pour se rendre compte de ce que nous apercevons. Sans aide, nous serions assurément passés à côté !!!

Ce trou dans le sol est un ancien amphithéâtre romain

Un peu plus loin subsistent les restes d'une cité fortifiée datant du XII°S. Elle couvrait 7 Ha. Seules deux tours (ou ce qui en reste) sont bien visibles. A fouiller, on distingue également quelques parties d'anciennes enceintes.

Toujours de magnifiques nuages lenticulaires qui ne se déplacent guère.

Et en contrebas, la mer de plastique....

... qui n'en finit pas !!!

Au sommet de la forteresse, une citerne triple de +/- 47 m3. Comment était-elle remplie ?

Nous sommes vite de retour après 1h20 et 3.64 km. 37.5 ° dans le Carrosse.

C'était intéressant même si ce n'était pas grandiose.

Toutes les explications sont en espagnol. Comme il s'agit d'une langue latine, nous arrivons à comprendre un quart de ce qui est écrit. Parfois nous demandons de l'aide du traducteur Google si cela nous semble important. Mais nous ne restons pas dans l'ignorance lorsque cela nous intéresse.