Station météo en panne !
Marianne, toujours à la recherche du mieux, nous découvre une visite à effectuer non loin de notre itinéraire à Yorük Köyü. Le guide vert nous la recommande. Cet ancien village comporte encore 124 maisons ottomanes, mais sans l'encombrement des boutiques à touristes (à ce jour). La plupart sont encore dans leur jus.
En arrivant sur place, nous suivons les indications saisies sur Tomtom et nous retrouvons dans un chemin qui devient trop étroit. Une tentative de demi-tour est effectuée sans succès car une roue quitte le sol, tant il est tordu. Une marche-arrière s'impose, avec prudence et patience. Nous y arrivons ! Un petit crochet nous mène alors au parking.
Et au premier coup d'œil, le ravissement est de la partie avec des maisons réellement typiques, effectivement dans leur jus, mais beaucoup encore habitées.
La timbale à la fontaine. |
En passant près de l'une d'elles, un petit vieux sous son porche nous invite à visiter la sienne. Et nous faisons un saut dans la machine à remonter le temps avec un bond d'au moins un siècle. Il tombe sous le charme de Marianne qu'il chouchoute un peu.
La baignoire dans l'armoire |
L'écoulement de la baignoire à l'extérieur |
Voici midi qui sonne
Et nous nous régalons réellement, les partageant.
Un peu gourmands l'un comme l'autre, nous commandons ensuite comme dessert des baklavas maison. Nous devons patienter avant d'être servis. Ce n'est pas réellement le temps qui passe qui nous tracasse, mais l'arrivée de la pluie qui commence à tomber.
La baklavas arrivent, au beure beurre beurre! et là, passés au four, ils ont un goût exquis, mais nappé de celui du trop peu... Sans ambages, nous réclamons l'addition qui nous est donnée aussitôt, payons et nous sauvons à toutes jambes sous les premières grosses gouttes. Nous arrivons un peu humides au Carrosse, le Tshirt et jean's étant marqués.
Poursuivons notre route, mais Tomtom ne trouve pas notre parking et nous fait tourner en rond. Marianne rebondit et nous trouve un autre bivouac à Kadiköy où nous arrivons à 17h. Ouf!
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