20°C à 8 h, couvert.
Comme le suggère la carte, nous suivons la route verte le long de la côte. Sauf qu'elle n'a rien de vert, plutôt un côté poubelle... vues et odeurs... mais nous sommes effectivement en bord de mer. Donc rien à dire.. LOL.
Nous longeons un reg, désert de pierres apparentes. Quasi pas de terre...
La route est souvent en mauvais état et il faut être aussi attentifs que prudents pour ne pas s'effondrer soit dans un trou soit dans les bas-côtés.
L'arrivée à Essaouira s'effectue aux environs de 12h30. Et nous y mangeons les restes de couscous réchauffés. Cela reste bon, mais le couscous souffre un peu et se transforme en michepape. Les dattes et les petits gâteaux corrigent le plaisir...
Nous parcourons la ville de long en large admirant les nombreuses et diverses boutiques des plus variées.
Anne et Henri ont en souvenir un excellent restaurant et nous y emmènent. Il est ouvert mais complet pour ce soir et n'ouvre pas le midi. C'est donc râpé que de tenter d'y aller dans nos délais. Mais à voir les deux photos ci-dessous le cadre semblait des plus agréable.
Pour la photo ci-dessous j'ai demandé à Anne, Henri et Marianne un effort particulier afin de s'afficher avec leur meilleur sourire. Mais non, comme vous pouvez le voir ils restent l'air sombre...
Nous souhaitons aller manger au restaurant demain. Pour cette raison, nous allons voir le garde du parking, un parrain de seconde zone et lui expliquons que nous souhaiterions passer la nuit mais prolonger jusqu'en fin de restaurant. Il nous demande si nous n'avons pas une bouteille de vin. Et en effet, il nous reste la bouteille reçue à l'achat du billet du ferry. Nous la lui présentons et Henri comprend que pour ce don, nous n'aurons plus rien à payer. Au retour, je dis à Henri que je n'ai pas compris cela comme lui et qu'il nous réclame 50 DM pour la nuit, nous faisant grâce du prix de l'après-midi.
Nous passons la nuit sans encombre.
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