Comme prévu la veille, le temps d'une douche aux sanitaires du camping et le petit déj et nous entamons une petite balade vers le village de Tamzawrout. Du camping, il paraît assez typique.
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| Ce palmier semble en fleur. Ne vous y trompez pas, il s'agit de la fleur de douche d'Anne qui sèche au vent... |
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| Un cimetière sans doute désaffecté. |
Alors que nous montions un sentier rocailleux menant au vieux village en semi-ruine, notre attention est attirée par un remue-ménage: une colonie d'écureuils occupe le terrain et ne semble pas effrayée par notre présence. Nous réussissons à les prendre en photo.
Des hauteurs du village, les lieux semblent se désoler avec la sécheresse qui s'accroît.
Au sommet, ce qui reste du village nous apparaît un peu comme un ancien ksar désaffecté. De nombreuses maisons sont en partie effondrées. A notre passage certaines fenêtres se ferment montrant que des habitations sont encore occupées.
Les ruelles, très étroites, ne nous laissent guère le choix du chemin à emprunter. Nous descendons et rencontrons quelques traces d'un passé sans doute meilleur qu'à ce jour.
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| A remarquer les câbles électriques le long des murs. |
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| Construction en briques crues. |
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| Etonnant contraste entre la mosquée parfaitement entretenue et le village dégradé |
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| Une porte du parfait style local montrant un passé meilleur |
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| Les restes d'une ancienne serrure. |
Il est passé 11h lorsque nous rentrons. Quelques instants et les estomacs, habitués au tajine d'hier, crient déjà famine. Un croque-monsieur maison viendra combler nos attentes.
Le farniente nous occupera tout l'après-midi.
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