22°C à 8h, soleil.
Réunion au sommet pour un changement de cap vers le rucher d’Inzerki. Mais tout d’abord, nous passons au village pour récupérer l’amlou que nous avons commandé la veille au restaurant « Nadia » où nous avions mangé voici deux jours.
Voyez-vous Orca ? |
La route est étroite et en mauvais état. Ce qui crée un peu de stress à chaque trou qui n’a pas pu être évité.
A midi, nous profitons d’une aire
un peu sauvage pour nous rassasier. Au menu, haricots verts Cassegrain, tomate,
crème d’anchois. En face se trouve le bistrot du Moulin. Nous y entrons et
commandons un thé. Nos yeux ne peuvent s’empêcher de voyager pour observer l’état
des lieux peu orthodoxe. Quelques autochtones jouent aux cartes. Le thé arrive.
Il est excellent. Sur le parking, quelques bâtiments sont en construction. L’un
d’eux présente une voûte neuve très bien travaillée.
Sur la route, nous n’apercevons
pas à temps le gendarme couché (ralentisseur) et le Carrosse fait un bond
inhabituel. Nous poursuivons néanmoins. Peu de temps après, Marianne semble
entendre un bruit inhabituel. Et elle avait raison. Le gendarme couché a fait
sauter le Carrosse si fort que le robinet de l’évier de la cuisine s’est ouvert
inondant le plancher et le contenu des tiroirs. Nous marquons l’arrêt pour
éponger. Il n’y a sans doute pas eu beaucoup d’eau. Peut-être deux ou trois
litres au maximum. Il nous faut peu de temps pour remettre tout en état. L’avantage,
c’est que le sol est bien nettoyé maintenant !!!
Au moment de repartir, nous constatons qu'un vent de sable vient de se lever. Nous ratons une prise de vue: un petit cyclone vient de se former à moins d'un km de nous. Ceci nous semble éphémère et nous prenons la route malgré tout. Quelques minutes plus tard tout est revenu en ordre.
Le thermomètre affiche 39°C, cela
fait chaud pour la saison…
Courant d’après-midi, nous nous
arrêtons à une station-service qui peut nous accueillir pour la nuit. C’est
particulièrement bruyant, voire tonitruant. Nous commandons un tajine, plus
exactement trois tajines pour quatre car Anne a fait des yeux noirs une fois de
plus lors de la proposition de ce repas. Marianne lui a donc proposé de
partager un plat avec elle, Henri et moi restant sur une ration « normale ».
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