A 10h10, nous avons rendez-vous à l'entrée du camping pour prendre le bus direction le musée de Dali à Figueres. Nous sommes six couples anglophones et deux couples francophones. Notre guide, espagnole polyglotte nous apportera les commentaires dans les deux langues.
Nous traversons une partie de la ville et notre guide marque l'arrêt devant les bâtiments se rapportant à Dali, sa maison natale, celle de ses parents… et traversons également le marché couvert. Pas bien le temps de flâner, notre guide trace au grand dam d'un des participants qui claudique s'appuyant lourdement sur sa canne.
Le dessin au sol se reflète dans le cylindre en inox et représente le visage de Dali.
Arrivés devant le musée, nous recevons les nombreux commentaires sur les représentations diverses de la façade du musée recouverte de pains et surmontée d'œufs.
L'une des nombreuses signatures de Dali.
Avant d'entrer dans le musée, notre guide va récupérer les tickets d'entrée et nous évite ainsi de faire la file. En attendant, nous entrons dans l'église San Père toute proche.
Le musée est un ancien théâtre détruit et récupéré par Dali. Une des salles fut dédiée à sa première exposition. Ses œuvres les plus célèbres ne sont pas exposées ici, mais disséminées à travers le monde.
Ici, son plus beau jeu de mots: le car naval !
L'ancienne scène du théâtre qui sert de salle d'exposition pour les œuvres les plus grandes en dimensions.
Cette œuvre ci-dessus est en réalité un portrait pixélisé avant l'heure des pixels. Vous le verrez sans doute mieux sur la photo du bas en petite taille, les pixels étant alors plus petits.
Il s'agit d'une œuvre peinte au plafond et représentant un couple qui danse la sardane.
Dans une petite salle obscure, on peut y voir une autre facette de ses talents, la création de bijoux.
A la sortie, le soleil nous accueille avec ses plus beaux rayons. Nous rentrons en bus et un peu tard Marianne nous prépare un tajine aux abricots.
Profitant du soleil, nous sortons les fauteuils pour Marianne qui prend le soleil et pour moi, plus à l'ombre, pour un peu de lecture. Et finalement, nous sortons aussi le tandem, car un appel se fait sentir. Nous roulons jusqu'au centre-ville et allons déguster une excellente glace assis sur un banc au soleil. Non ce n'est pas de la gourmandise; c'est juste profiter du temps qui passe trop vite.
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