mardi 29 octobre 2019

Espagne 2019 mardi 29 octobre

Juste avant notre départ, un de nos Zamis sur place nous renseigne le petit village de Moraira, très beau nous dit-il. Comme il est sur notre route, nous décidons de nous y arrêter et d'en faire le tour à pieds. Le village n'est pas très grand. En bord de plage il y a un petit fortin sympa et dans le village quelques boutiques qui se laissent lècher...









Sur la matinée, nous ne faisons guère plus d'une trentaine de km pour arriver au camping El Naranjal de Jàvéa. Les places sont vastes. C'est un emplacement ACSI (tarif réduit en basse saison aux membres) et nous en profitons avec l'électricité. Pour notre malheur, la piscine a fermé hier. Mais c'est sans regrets car l'eau était à 19°C. On a connu mieux chez nous...

Au moment de préparer la table, j'ouvre le frigo pour prendre la bouteille d'eau. Mais le pot de yaourt (entendez un pot d'un litre, fait maison (Carrosse) la veille) ne l'entend pas de cette oreille et ne veut rester à sa place. Il choit et non content de cela, s'ouvre dans sa chute répandant tout son contenu frais sur le bas du frigo autant qu'en dehors. Le spectacle aurait mérité la photo. Mais en mauvais reporter, j'ai tenté d'aider Marianne qui poussait des cris de désespoir...

La table est dressée dehors et nous nous nourrissons d'un tajine aux pruneaux.

Le tandem est sorti pour visiter un peu les environs. Nous roulons allègrement jusqu'au centre historique où nous garons le vélo. A pieds, nous visitons les extérieurs de l'hôtel de ville, de la vieille église, du marché, d'une chapelle, d'un couvent, des murailles et aussi d'un ancien marché couvert. En plus des ruelles qui ont du charme...





Nous avons même la chance d'apercevoir de magnifiques dauphins sur une mer bleu azur...

















Ci-dessous, le détail des balcons de la photo ci-dessus. 



Mais la journée n'est pas finie. Alors que nous reprenions la route à vélo, Marianne aperçoit un coiffeur lowcost. Plutôt que de s'embêter à jouer les coiffeurs  elle-même, elle pousse la porte. Cinq minutes d'attente pour avoir son tour, une demi-heure de traitement et le tour est joué. Oui, mais nous sommes à l'heure d'hiver. Nous devrons donc brancher le phare pour rentrer. Et avec le retard pris, la fraicheur est tombée. Nous n'avions pas prévu de veste et sommes partis en bras de chemise. De retour, la chair de poule était au rendez-vous.

Demain, elle devrait me couper les cheveux... si nous ne passons pas devant un autre coiffeur pour homme.





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