Espagne 2019 jeudi 24 octobre

Le temps d'accomplir les services et nous prenons congé de nos hôtes français gérants de cette aire espagnole bien sympathique. 47 km nous séparent de l'aire d'Alicante où nous arrivons en peu de temps. L'aire est située en quartier résidentiel. Nous sommes entourés de buildings. La plage n'est pas très loin.

Nous prenons le tram qui nous amène à Alicante que nous souhaitons visiter. Nous sommes un peu surpris de ce que nous voyons. Rien n'est laid, mais rien n'est vraiment beau. Nous cherchons l'Office de Tourisme et tout d'un coup nous tombons nez à nez avec nos voisins d'hier qui nous avaient prêté la corde à linge. Ils cherchent aussi l'OT. Ils ont loué une voiture à l'aire pour 0.15€ le km...Nous nous joignons à eux le temps de la découverte et leur souhaitons une excellente  visite de la ville. Mais avec le plan, pas grand chose de plus. Outre la cathédrale, tous les monuments de la ville sont fermés: les couvents, les églises, les monastères...

C'est la saison des champignons, nous souhaitons en profiter...

Les ficus sont en grande forme. Jordane, tu peux encore espérer pour le tien...

L'entrée aux archives de la ville d'Alicante.

La cathédrale et son cloître dans lequel les ouvriers … fument !!!

Les restaurants ouvrent plus tard en Espagne et nous devons attendre une heure trente pour pouvoir nous rassasier. Nous sommes dans un quartier touristique et hésitons sur le choix du restaurant. Finalement, nous entrons plutôt que de manger en terrasse car le vent est froid et vif dans les ruelles. Nous commandons une paëlla gratinée, précédée d'un plateau de jambon ibérico avec une sangria pour patienter. La sangria est bonne et généreuse (1/2l) et le jambon excellent. La paëlla nous arrive. Il s'agit d'une paëlla sans poisson ni fruits de mer, juste de la viande.(du porc essentiellement: ribs, boudin noir, saucisse, …)  Une spéciale pour Guyguy. Elle est  …  bonne  … mais il manque quand même le côté mer auquel nous sommes habitués.

Juste un café, l'addition, puis nous traversons la rue,  car de l'autre côté se situe un glacier italien décrété troisième meilleur d'Espagne. Nous devrions aussi demander l'adresse des deux autres ...

De là, nous nous dirigeons sur le castello auquel on peut accéder à pieds par le chemin en lacets, ou par le tunnel qui mène à l'ascenseur. Nous choisissons cette deuxième option, allez savoir pourquoi?

Le castello est bien conservé et tout ce qui est restauré l'est parfaitement. Il domine allègrement la région et sa position est un réel point de vue.

Quelques photos valent mieux qu'un long discours...

Du sommet, nous apercevons le marché couvert. Mais il n'ouvre qu'en matinée.

Après la paëlla de midi, nous sommes pris d'une grande soif. Une bouteille d'eau pour chacun en viendra(dront?) à bout.

Pour revenir à l'aire, nous prenons un bus. Mais comment savoir où nous arrêter ? La technicité d'aujourd'hui nous apporte une simplicité doublée d'une parfaite efficacité. Il suffit de brancher le GPS du téléphone et demander le trajet jusqu'à notre aire. Ainsi nous serons géolocalisés et verrons bien où descendre du bus. Ce qui fut fait.

A l'aire, nous voyons comment traiter le problème de la batterie, bien que nous soyons au 220 V. Le technicien nous a répondu , mais ce n'est pas très clair. Une réponse l'interroge à nouveau. Nous devons donc encore attendre le retour. Ce sera sans doute pour demain.